Fragment du voyage d'Ergast

Déja trois mois ce sont écoulés, depuis mon entrée en Cyrodiil, et un second viens de s'écouler ici dans la cité impériale.

La Tour d'Or-Blanc, ne vaut pas la Tour Adamantine, surtout avec autant de ses créatures, ses daedras et ses morts ramenés à la vie pour continuer le combat.

Tout me semble déjà loin, je me souviens encore de quand nous étions avec père à Abondance attendant nos alliés ... 

Je surveille les égouts en ce moment, il faut dire qu'ils sont infestés par la pourriture de Molag Bal au moindre recoin ...

Nos rations, sont toujours les mêmes, du pain, un peu d'eau et parfois une pomme de terre, si nous avons de la chance.

Père, je sais qu'aujourd'hui tu n'es plus de ce monde et qu'Arkay s'occupe de ton âme, et ce depuis le premier pas posé en Cyrodiil, le 29 de Mi-lan.

Mère, t'a rejoins de ce que je sais peu après avoir appris la nouvelle. 

La tristesse, comme cause, m'a-t-on décrit.

Je suis à présent seul, avec les derniers membres de notre troupes.

Tout les jours, il y à un mort ou deux.

Tout les jours, nous les enterrons.

Abondance, était le dernier moment de paix, je me souviens encore de quand, je parlais avec Helena, son père est encore avec moi, le comte Guillaume.

Le comte et moi, menons certaines des attaques en haut, parfois à tour de rôle, parfois ensemble.

La haut, la cité impériale, ou ce qu'il en reste, est un véritable charnier, la mort y est le suzerain de toute chose.

Pas plus tards qu'avant-hier j'ai vue un enfant de peut-être 4 ou 5 ans, chercher sa mère, dans une fausse commune, l'enfant était noirci par les cendres, et au moment de touché le tas, ils se sont révéillés.

Mortimer, Gruzguk et moi avons bondit, pour aller sauver l'enfant, mais après quelques instants de notre lutte acharnés, nous avons sut que l'enfant a été déchiquetés par ceux qui était fut-il peut-être un jour sa famille.

Le bruit du combat avait fait rameuter un groupe de Daedra, Mortimer et moi, sommes sortis vivant, mais Gruzguk n'a pas survécut, il à été enterrés lui aussi.

Mortimer, lui est mort hier, les égouts ne l'ont pas acceuilli cette fois-ci.

Le dernier sacrement, m'est aujourd'hui, bien trop connu, cela serait une poésie que si on me demandais de la récité, je pourrais le faire, les yeux fermés, les pieds pendus et la tête tourné dans le vide.

Mais Stendarr, à décidé d'intervenir, demain, je peux repartir pour Daguefilante, le comte Guillaume, à décidé de me raccompagner.

Il est un homme bien, et sa fille, était drôle, j'espère qu'elle pourras faire le voyage avec nous, d'Abondance à Daguefilante.

Je suis enfin à la maison.

Claude, notre intendant m'a acceuilli, il ma mené, à l'arrière de la cour, deux nouvelles tombes garnissait le château.

Deux nouvelles statues, étaient présentes, l'une celle de droite pour père, et c'elle de gauche pour mère.

Le comte Guillaume, était encore avec moi, Helena aussi, toujours aussi douce, toujours aussi drôle.

Elle sait comment m'égayer, ses cheveux noir, et ses yeux verts, m'ensorçelent toujours un peu plus, à chaque instant passé avec elle, le temps est comme stoppé.

Mis à mal, par elle, par sa simplicité, par sa beauté, par toute les choses qu'elle savait montré dans leur appareil, plus simples, et pourtant plus libres.

Mais ils sont déjà partis, sa majesté le roi, m'a demandé si toute les terres autours pouvez m'être pris par lui afin d'augmenter les capacités de Daguefilante, elle même.

J'ai accepté, je n'avais pas l'esprit à diriger toutes ses âmes, ni si j'étais sûre d'en être digne ou même capable.

L'intendant à décidé de rester, mon grand-père et lui était ami d'enfance, Claude à dû voir bien des Drackhus, cinq ou six générations même.

Peu à peu, la cour s'écoulait, il ne rester plus que moi, seul sur ce trône de Chêne et d'Or.

Père, m'avait raconté, que c'était un cadeau de mariage de la famille royale des falmer, lorsque l'une de leur princesse s'était marié avec la famille ayléid dont je descend, la couronne que je porte désormais, elle venait d'une union avec l'une des descendantes d'Allessia.

Je vois l'Histoire être déposé sur ma tête et sur laquel j'étais assis, mais cela n'empêché nullement ce sentiment.

Je ne saurais dire qui il est, je les senti à partir du départ de Claude dans ses quartiers avec sa famille.

Les lumières s'usent peu à peu, vaciller, et s'éteindre.

Pourtant une survie, elle derrière moi, c'est la lune, la pleine lune et sa lumière qui traverse le vitrail, mes paupières se font lourdes, et je suis seul.

Enfin le tournoi, se finis.

Il n'a pas été de tout repos, mais j'ai gagné.

Je n'ai certes pas été choisi par ma douce Helena, mais ma victoire reste là-même, son champion etait le prince Lothaire.

Néanmoins, il y à une demoiselle qui m'a tendu une couronne de fleur, une fille de la maison Dufort, Élea, il me semble que c'est son prénom, une fille des Systres apparemment.

Enfin, j'ai vaincu bien des chevaliers, et des seigneurs, et un prince par dessus le marché.

A vrai dire, le prince tenait si mal son épée que cela me semblait être une bien triste comédie.

Je n'avais jamais vue plus pathétique homme, de 10 ans mon aîné, mais née 1 ère trop tôt pour pouvoir tenir son épée sans que le bout ne touche terre.

Ce tournoi était en l'honneur du mariage du prince Léonard avec Dame Maryse de Camlorn, je leur souhaite tout le bonheur du monde.

Tout deux sont épris l'un de l’autre et cela transpire l'honnêteté.

Mara, à fait là un sublime travail.

Mais c'est Yffre qui créé la plus belle chose, et Helena est sa plus belle création.

Claude, à dit que lorsque père rencontra mère, il s'était adonné à des poèmes pendant plusieurs mois.

Et il m'a conseillé d'en faire autant pour Helena.

Je ne sais pas, mais j'ai une idée, un sonnet pour lui plaire.

Cela devrait faire l'effet escompté.

Je l'espère.

Que Stendarr et Yffre, me viennent en aide.

Le haut-roi Emeric, m'a chargé de commander une cohorte pour porter assistance aux soldats Rougegardes et Orcs dans les nord de Raidelorn.

Si mon arrivée et mon entrée au champ de bataille avec mes cavaliers fit l'effet escomptés, et permis de renverser la vapeur.

Je ne peux pas dire que nos "alliés" furent bien efficace, ils étaient cinq à six fois plus nombreux que ces nordiques, mais leur rang était si éparpillés et que chacun était tellement à la recherche de gloire, qu'au final se nombre était un désavantage certain.

Leur commandant à tout deux ne comprennait rien à ce qui se passait, il n'y avait aucune discipline dans leur rang, ni espèce de doctrine ou de stratégie pour les faire travailler ensemble, heureusement que je suis arrivés in extremis avec deux cents cavaliers légers, deux cents conscrits et cent archers, sinon de nos alliés, il n'en restait rien.

Faut-il vraiment qu'un homme de 17 ans, expliques comment une bataille fonctionne a des personnes qui font le triples de mon âge ?

Mais au moins cela me conforte sur l'idée, que nos alliés, vont plausiblement causer notre défaite, et la défaite du Haut-Roi, et pire encore la défaite du Royaume de Daguefilante, et cela ne je le permettrais pas.

Si la bataille à duré quelques heures, j'ai néanmoins pris part à la mêlée, et durant cette dernière, j'ai fait la rencontre du seigneur ennemi, le Jarl d'Epervine, m'a-t-on dit, il se battait comme cent hommes, mais je l'ai défié au combat, et notre duel au sommet, fit abruptement stoppé par, une nordique au cheveux de braise, elle se battait avec deux haches.

Je compris vite, que j'avais là à ne pas m'en faire, elle était rapide, forte, et plus important, je l'ai entendu crier : "Père laissez moi ce chevalier de pacotille !"

Comment oses-t-elle, me nommer ainsi, chacun de ses coups était lourds, mais je voyais à ces gracieux mouvement, ni l'expérience, ni un quelconque sens du combat, il ne m'a fallut qu'un simple moulinet de la main droite, pour la desarmer et avoir mon épée, à sa gorge.

Et lui dis-je retirant mon épée de la peau de sa trachet : "Le chevalier de pacotille, ne combat pas ceux qui ne peuvent tenir une arme".

Peu après, les nordiques se retirérent, en claironnant dans leur cor de guerre, le son de la retraite.

Je savais pertinnement, que si je les suivais, j'aurais simplement exterminé une armée ennemi, mais lorsque je vois, mes présumés alliés, être aussi fait, j'ai préféré ordonné de ne pas le faire.

Je savais que j'avais une longue nuit devant moi, à converser avec les commandants alliés, et ensuite partir pour Cyrodiil, mais j'avais pour souvenir, qu'à mon premier passage au côté de père, il y avais non loin à quelques minutes de marches du camp, un petit lac, peu profond, qui serait parfait pour m'y relaxé, après cette interminable réunion.

Je relaterai plus de cette réunion durant mon rapport.

J'avais enlevé, mon armure, et laissé mon bouclier, au camp, ne gardant que mon épée, comme défense.

Lorsque j'arrivâmes au lac, j'ai cru entendre un bruit d'eau, des éclaboussures.

Alors que j'arrivais sur la berge, je pouvais voir de l'autre côté, quelques vêtements, je ne saurais dires à qui ils appartenaient, mais alors que je m'approchais du lac, pour mieux voir le reflet de la lune.

Un corps nu, sortit de l'eau en hâte, la première chose que je vus, fus une chevelure de braise, cette même chevelure, repoussait l'eau vers l'arrière, alors que la tête faisait des gestes brusques pour se libérer de toute l'eau que retenait, ces longs cheveux.

J'avais devant moi, une femme nu, sa peau était aussi clair que la neige, je remarquais, des formes svelts et fines, sculptés comme dans l'ivoire.

Et sa poitrine saillante, dont la simple vue, fit germer un désir dès plus perfides en moi, et qu'il me fallait combattre, au moins pour Helena.

Mais, le doute s'était invité en mon esprit, l'avant-coeur d'Helena, ne sont de cette envergure là, juste sont-il peut-être de taille respectable ?

Lorsqu'elle finis, de remuer la tête, je pus observer finalement son visage, elle avait des tâches de rousseur, de sublimes tâches de rousseur, qui vétissait un visage, jeune, "elle doit avoir mon âge au moins" m'étais-je dis, et c'est alors qu'elle ouvrit ses yeux.

Deux yeux, d'un vert rappelant, les emeraudes, dont la première chose qu'ils virent fut, mon regard amou ... Je ... Non ... Un regards éclairé par la lune dont ses cheveux partiellement me bloqués la vue.

Elle cria, mais se tût à la seconde d'après, se cachant le corps.

"Qui êtes vous ?" me demandas-t-elle d'un ton, interrogateur et laissant parraître sa peur.

"Je suis Ergast Drackhus, baron du Guet de Daguefilante, l'homme qui vous mis lame sous le col, si je ne me méprends pas" répondais-je géner, en m'inclinant, j'essayais, de tenir au plus bas mon regards, au moins à mes pieds, mais rien n'y faisait, gène ou honneur, je tenais encore, le mouchoir qu'Helena m'avais gracieusement donné à mon départ de Metaye.

Je le tenais contre ma poitrine, là où mon coeur palpitait, se donnant en mille feu, pour une inconnue. 

"Comment mon corps peut-il me trahir à ce point ?" me demandais-je.

Mais mon désir était encore de pouvoir l'observer, dans ces gestes graciles.

Est-ce là ce que prône Dibella, mais je sais au plus profond de mon être, que Stendarr me test, en me mettant face au désir, le plus sombre.

Mais toute mes pensées furent balayés. "Relevez vous chevalier, sans votre armure, vous paraissez moins grand" dit-elle.

"Et vous sans votre armure, vous êtes la nouvelle vie de Dibella" lançais-je, mon âme ou ma langue à parlé sans demander avis de raison, mais mon esprit repris le pas.

'Vous ... Vous aussi vous me paraissez plus parf ... Je veux dire moins grande" mon corps me trahissait, et j'en étais sûre à présent, c'est mon âme, qui veut ma chute, je faisais tout ce qui était encore en mon contrôle pour ne point regarder vers elle.

Elle ria un instant, et me sourit, en me dictant "Je vous autorise à me regarder, chevalier, si vous m'autorisez à faire de même".

Mon coeur s'était estompé, mon corps, et mon âme se trouvait comme en effusion, comme lorsque père m'avait confiée l'épée de notre famille "Radiance" a son dernier souffle.

Mais je n'avais là aucune douleur, seulement une joie, bien trop immense pour un seul corps et pour une seule âme, mon esprit et ma raison, on était vaincu et se retrouve aujourd'hui sous le joug de mon désir.

"Je vous le permet" ais-je répondu, commençant à me deshabiller.

Le Domaine Aldmeri, est encore un peu plus au Sud, leurs troupes arrivent depuis le village de Vlastarus, et devrait être là d'ici 5 jours.

Nous avons créer une petite forteresse dès notre arrivée entre les deux montagnes, espérons qu'elle tienne.

Chorrol à déjà subit de très lourds dégats avec cette brèche géante et les atronach de feux qui en sortent.

Des créatures interessantes mais dont il reste assez dangereux de combattre sans bonne préparation.

Mais la chapelle de Stendarr, tiens à peu près droite, le divin sait ce qu'il fait.

Le prince Léonard, m'a confié des troupes et charger de la défense de la ville et de notre péage, il doit apparement monter pour Bruma, pour préparer un assaut contre le Pacte avec d'autres coalisés.

Je me trouve en effectif assez réduits, j'ai décidé de placer mes hommes en armures lourdes au bastion avec une partie conséquentes des archers, j'ai 800 soldats lourds, 600 y seront accompagnés par 400 archers, les 300 soldats légers que j'ai resteront avec moi dans la ville, les 100 archers restant prendront place dans les batiments, mais je me retrouve qu'importe la situation sans cavalier.

Je sais que je n'ai de moyens que la défense aucune contre-attaque ni poursuite, mais je ne compte pas les laisser passer, les montagnes sont trop abruptes pour être montés ou escalader par une armée, mais je compte sur mes soldats légers pour faire office de "renforts" en cas ou les murs du péages ne tiennent.

Cependant je ne dois surtout pas oublier les atronachs de feux qui rodent.

J'ai établis mon camps de commandement dans la chapelle de Stendarr avec un peu de chance, Stendarr m'apporteras la victoire.

Cependant je vois le ciel se charger d'orage et de pluie en regardant vers le sud, peut-être que Kynareth souhaite les empêcher d'arriver à moi.

Un des éclaireurs parler d'une force de 6 000 soldats aldmeris accompagnés par des armes de sièges.

J'ai en tout 1 600 hommes, si je ne me trompe pas, j'ai un peu plus du quart de l'armée aldmer, mais je reste sous équipés qu'importe comment je vois la chose, je n'ai ni cavaliers, ni armes de sièges.

Mon mur de pierre et de bois doit tenir, les barricades vont devoir tenir, nous allons devoir tenir, surtout que rien ne présage pour mon avantage l'arrivée de renforts, et l'ennemi à peut-être des renforts pour lui.

Cependant, j'ai fais serment de ne laisser par un seul pieds aldmer vivant à Chorrol et c'est ce que je compte faire, resister et combattre l'ennemi.

Mais je n'ai guère le choix, il faut que je mette en place des pièges devant le mur de Chorrol, mais aussi à l'arrière du mur, le domaine vas certainement vouloir directement attaquer la ville après avoir pris le bastion, il faut couper leur avantages et leur élans surtout si ils font envoyer leurs cavaliers à l'assaut ce qui est le plus plausible. 

Il vas falloir absolument tout préparer, mais si Yffre et Stendarr sont de mon côté, aucune armée ne passeras.

Trois jours pour tout préparer, un quatrième pour le repos, le cinquième seras la guerre, j'ai foi en mes hommes.

Nous pouvons tenir.

Chorrol outragée, Chorrol brisé, Chorrol martyrisé, mais Chorrol libre.

Le Domaine ne s'attendait pas à mes défenses, ils sont arrivés hier alors que la nuit était tombés et ont décidé de mener l'assaut en pleine nuit.

Mes hommes les attendait de pieds-fermes, et nos pièges aussi, la pluie que Kynareth à fait tomber, nous a donner un jour de répis supplémentaire, eux était forcé d'avancer à marche acceleré pour éviter les affres de la bourbes.

Même si les trois quarts de mes hommes au mur, ne sont pas revenus, nos pièges arrières ont eut l'effet escomptés, le plus gros de leur cavalerie après la destruction de la porte, s'est jeté dans nos pièges et nos tranchés que la nuit recouvrait par son ombre.

En l'espace de quelques heures, les 8 000 soldats du domaine, n'était que mille debout exténués et à bout de tout souffle, comprennant ma chance, j'ai décidé de renforcer le mur, mais surtout de prendres les devant, et chargez avec mes soldats lourds et legers, le chef ennemi, aurait dû deviner que j'ai fait en sorte que ma défense soit défaillante pour mieux le tenir en étau.

La bataille à commencé à 21h30, le 6 d'Ondepluie, et c'est finit à 5h le 7 d'Ondepluie.

Les rares cavaliers aldmers qui ont réussi à passer, ont été terrasé par mes archers en villes et les quelques soldats en stationnement.

Nous avons finis de faire les comptes de la bataille.

La bataille du péage de Chorrol, à en tout fait 5 000 morts, 3 400 blessés, et 400 prisonniers sans combattre.

L'Alliance à perdu 450 soldats lourds, et une centaines de blessés, de leur côtés mes archers, ont été réduits de 200 soldats, et une centaines de blessés.

Le Domaine défait, à perdus 4 000 soldats d'infanteries, et leurs 400 cavaliers, 400 archers se sont rendus sans même se battre, 400 autres sont blessés, et le reste de l'infanterie, 2 800 soldats, sont devenues prisoniers après blessures, ainsi que leur commandant, et en plus j'ai récupéré leurs armes de sièges allant du trébuchet, à la baliste en passant par deux béliers et quelques catapultes.

Même si le goût de la victoire est en bouche, 650 morts et 200 blessés, reste une perte lourde à assumer pour une force de 1 600 soldat à l'origine en plus des blessés, j'ai perdus près de la moitié de mes troupes dans cette défense.

Mais pour me consoler, j'ai récupérer les plans du commandant Camoran, que j'ai pus faire transmettre au commandement supérieur à l'arrivé des renforts de Sentinelle, ont m'a chargé de prendre mes troupes et de les ramener aux campements principaux de l'Alliance et ensuite de me diriger pour Bruma, après que trois jours se soient écoulés, apparement je vais être à la tête de 8 000 cavaliers lourds, en plus des défenseurs de Chorrol.

J'aurais donc environ 10 000 soldats puisque mes hommes actuels vont être réorganisés avec du sang neuf.

Si on ne compte pas la bataille à la cymes de l'Etoile du Dragon, Chorrol est ma première victoire personnel sur le plan militaire en tant que commandant, je suis un peu excités par cette idée, j'espère que cela ne seras pas ma dernière victoire.

Ma première victoire .... Dommage que père ne soit pas là pour l'avoir vue.

J'ai encore le prince Léonard mourrant à Bruma, qui hante mes nuits.

Je peux pavaner tant que je le souhaite, je suis arrivé trop tards.

Pourquoi il à fallu, que le onzièmes jour de ce mois, soit mon Magnum Opus et ma désolation.

Chargée sur le flanc 30 milles soldats du Pacte, avec 10 milles cavaliers, briser le siège long et dure de Bruma, 66 jours, 60 où on m'a envoyé dans toute la Cyrodiil mais pas auprès de mon prince.

Je suis arrivé hier à Cheydinhal, moi et mes cavaliers, avons exterminé toute les armées du Pacte que nous avons rencontré, plus rien ne sort des forteresses par peur que je vienne terrasser un peu plus leur peuple, un peuple bon pour servir de terreaux.

Le pire dans toutes cette histoire, est que j'ai massacrés, des milliers de soldats de Coeurébenne, mais au final, cela ne sert à rien, à part que j'ai atrophié une génération entière de nordique, d'argonien et de dunmer, peut-être ...

Cela ne ramèneras pas le prince, le Haut-Roi, m'envois des félicitations pour ce que j'ai fait ...

J'ai amené la peur, la peine et la mort, mais selon lui c'est ce qu'il faut, "Il faut qu'ils perdent leur motivation, pour aller combattre", disait-il dans sa dernière lettre.

"Grâce à vos actions Ergast, nous avons fait de nombreuses victoires, la terreur que vous infligés se ressent jusqu'au rang des aldmers".

Je sais et je maintiens, que le rêve de Drackhus, ne peut-être achevé uniquement par la guerre, et qu'il faut conquérir et encore conquérir, pour créer cette empire où toutes les nations et les peuples vivrons ensemble.

Mais y-a-t-il une tel necessité, une tel approbation de la violence qu'il faut en oublié, ce qui nous unis tous ?

Kynareth, je sais que tu ne regarde pas la pauvre âme que je suis, j'ai tué et par ton aide, j'ai encore tué, mais ton vent peut-il m'amener à quelque chose qui peut réconforter mon coeur ?

En demanderais-je trop ? 

Je vais prendres mes cavaliers et repartir par le fort de Chalman, pour retourner à la porte nord d'Hauteroche.

Il faut que mes hommes se reposent et je ne peux me permettre de rester ici en milieu hostiles.

Demain, nous repartirons, mais je me suis permis de conquérir Cheydinhal, au moins pour la forme et l'humiliation.

Sans parler que le comte Guillaume, m'a demander de venir avec lui à Metaye-la-vielle.

Il m'a parlé du fait qu'Helena ait trouvé mes poèmes à son goûts ...

Même si je suis heureux d'entendre cela, mon coeur se tord, mon âme penses-encore à Frida ...

Jamais je n'aurais dû accepter de partager cette nuit avec elle.

Elle est ma ruine, pourtant tout mon corps en pensant à elle, m'ordonne d'aller à Epervine.

Me prosterner à elle et lui jurer ma fidélité.

Mais je ne dois plus céder, le comte m'a demandé, et sa fille est peut-être enclin au mariage ...

Un mariage ... C'est peut-être ce qui vas me permettre de l'oublier.

Je ne pouvais pas rêver plus, la femme que j'aime se dit prête à notre union et son père me l'accorde.

Yffre, Stendarr et Mara, vous me bénissez tout trois.

Je ne tiens plus en place, depuis hier, je suis comme un poisson hors de l'eau, Claude riait même au éclat voyant mon excitation.

Il à même mentionné que je ressemblais beaucoup à mon grand-père, lorsque grand-mère lui avait dit "oui".

Je fais les cents pas dans tout le château du Guet, même Lyssandra, qui était la meilleure amie de maman me souriait, même si son sourire me semblait faux.

Elle à toujours été comme une tante, et me considère comme son propre enfant, mais je pense que c'est juste qu'elle s'inquiète pour moi, mais il n'y à rien à faire je suis dévoré par l'impatience et par la joie.

Je ne sais pas comment faire pour réprimer mon impatience, mon coeur, et mon corps sont prêts à exploser, cependant au fin fond de mon être.

Frida reste ...

Son corps dansant au-dessus du miens, cette image reste gravée en moi.

Lorsque je repense à elle, au lac, à cette nuit, à cette fois, où nos corps se sont entremélées, j'ai l'impression que ...

Je ne saurais touché le mot par ma langue, c'est une sensation encore plus forte après que je sois revenus, lorsque je pense à elle et qu'elle est loin de moi, tout semble n'avoir aucun goût, aucune saveur sans elle, je suis vide.

Dibella m'a maudit à coup sûre, elle s'est vengée de moi.

Plus je suis loin, plus tout mon être refuse de fêter l'union qui sauveras mon âme.

Frida est une ennemie, la plus belle de toute, mais je dois lutter, de tout mon être contre ses viles pulsions.

Mais ce qui emplis mon tourment, c'est Helena.

Helena est une femme bien, superbe, je suis heureux d'avoir sa main, mais elle à tant de prétendant, que c'est difficile pour moi d'en faire fie.

Comment puis-je être certain, qu'elle soit mienne.

Comment-être sure qu'un autre, lui ait déjà fait l'amour ...

Le ciel s'acharne, les dieux se retournent-ils contre moi ?

Ce bas monde, veut mon malheur, mais je dois rester claire dans mon esprit, et fort avec mon corps.

Je dois oublié Frida, et faire ma vie avec Helena, et faire confiance à celle que j'appellerais bientôt "ma femme".

Que les dieux m'en soit témoins, je ne faiblirais pas, je ne faillirais pas.

Enfin, nous sommes mariés ...

Je suis heureux, mais au plus profond de mon être, j'ai l'impression d'avoir fait une erreur...

Frida hante mes pensées  et à même envoyer une lettre assassine, d'une manière ou d'une autre, elle a appris qu'il était coutume chez les Drackhus d'un autre temps, que si une personne envoyer un anneau d'or, dans une lettre, c'est qu'elle vous demandez en mariage.

Et le contenu de la lettre ne laisse aucun doute ni mystère sur ses intentions.

La belle au cheveux de feux, veut que je soit son mari et le père de ses enfants...

Je ne peux qu'imaginer là un test des divins, une manière de mettre à l'épreuve ma volonté d'honorer ma femme.

Et ils se montrent particulièrement dures avec moi,  Yffre attise le plus profond de ma nature, et Mara juge de ma ferveur.

Mais je dois faire avec, et en parlant...

Mon parrain était présent...

Je mentirais en disant que je n'était pas heureux de le voir bien portant.

Mais je pouvais lire en lui une grande mélancolie.

Sa fille Laetitia et moi devions nous marier à l'origine, cependant lorsque l'empereur Varen, alors comte de Chorrol s'est rebellé contre la dynastie crevassaise,  plusieurs massacres furent organisées et hélas la famille de Valorus, à largement trépassé.

Je me souviens encore de quand leur mort fut annoncé...

J'étais à Fharun, supportant le clan orc pour repousser des tribus crevassaise, à cette époque je n'étais pas encore un chevalier, mais j'ai accompagné les Chevaliers du dragon mener par le prince Léonard qui jouait le rôle du tuteur et moi de sa pupille.

Aujourd'hui c'est avec une grande amertume que je regarde le passé.

Si j'avais accompagné Laetitia et sa mère comme convenu, peut-être auraient-elles vécut.

Si j'avais confronté le plan des bannerets de père, il serait avec mère, encore des nôtres.

Et si je n'avais pas pris un jour de plus pour me préparer à la bataille de Bruma,  j'aurais pus sauver le prince et éviter toute ses morts inutiles.

Je peux refaire longuement le monde avec des "si".

Et mes crimes sont déjà là, j'ai du sang sur les mains.

Le Haut-Roi accompagné par le roi d'Orsinium, ont décider d'être présents à mon mariage puisque dans deux jours se tiendra à Daguefilante une réunion militaire, et on m'a demandé de venir car j'aurais une mission toute particulière.

Cela ne laisse que peu de temps pour une lune de miel.

La salle se remplissait peu à peu, le Haut-Roi toiser les généraux et les seigneurs nobles présents.

Il se mit à parler lorsque l'immense salle était bondé, et tout le monde se tut pour entendre sa voix.

"Bien, généraux et seigneurs de l'Alliance de Daguefilante, comme vous avez pus le remarquer les raids des daedras s'intensifie en Cyrodiil et un peu de partout dans notre territoire.

Il nous faut réfléchir à comment agir contre eux, et assurer des victoires face au Domaine et au Pacte."

Beaucoup commencé à lever leur main, d'autres discutés entre eux pour réfléchir à plusieurs plans, le haut-roi semblait essayer de suivre tout le monde, mais tout les plans proposés se contre disais et ceux sans aucune difficulté.

Certains parler de négocier une paix blanche, sujet sur lequel je me suis insurgé: "Nous pouvons gérer nos trois ennemis, mais il nous faut réorganiser l'armée de l'Alliance" avais je mentionner.

Ce qui à largement lancé un débat sur comment la réorganiser et réfléchir sur nos projets vis à vis de nos ennemis.

Du peu que nous sachons, il y à de possibles luttes en Havreglace ce qui expliquerais pour les daedras comptent autant sur le culte du ver.

Pour ce qui concerne du Domaine et du Pacte, plusieurs plans se sont mis en place.

Mon rôle est dans un premier temps avec la seconde armée de Glénumbrie d'entamer le Domaine dans la région de Skingrad le temps que de nouvelles armées prennent le relais, ensuite je participerais à la "Campagne de Bordeciel".

Ma mission seras d'occuper les armées nordiques et de les fixer vers le passage de Sancre-Tor et de fait de menacer Helgen et la châtellerie d'Epervine, ensuite il faudras que je fasse en sorte de les mener en bâteau et de servir de diversion pendant que Fort d'Hiver seras assiégée par Lauthaire et le seigneur Dorell.

J'ai quelques réserves sur ce plan, car une parcelle de l'armée seras envoyé pour conquérir Morneroc et ensuite lancé un assaut en Deshaan pour prendre Longsanglot tout en mettant une pression sur Bal-Foyen et Coeur-Ebenne.

Autrement dit tout le plan suggère de diviser nos troupes et de maintenir les nordiques chez eux.

Ce qui me semble assez difficile, sur le papier je pourrais mener des sièges mais que de manière limités et de préférence court.

Alors que si j'assistais au combat sur la côte nordique en prenant Aubétoile, je pourrais soutenir les troupes du siège de Fort d'Hiver et menacer ensuite Vendeaume.

Et peut-être forcer la reddition nordique.

Là oui, je veux bien parler de paix.

Le haut-roi, nous a convoqués, le prince Casimir, le baron d'Ilessa, le baron de Glenpoint, le duc de Camlorn, le comte de Mataye-la-vielle et moi-même.

Nous étions tous réunis autours du Haut-roi Emeric, alors que mon roi nous regardé, semblant un peu perplexe.

Le roi Bergamot de Daguefilante est un homme âgée, mais sage et un excellent tacticien, ses petits fils Léonard et Casimir sont tout deux de bons descendants sur cette question, Lauthaire lui manque de capacité en ce domaine.

Le haut-roi, nous à expliqué la raison de cette entrevue en-dehors de la réunion d'hier.

Nous formons ensemble le poing de l'Alliance de Daguefilante.

Un petit groupe de seigneur, qui réunit n'a qu'un seul objectif, une victoire écrasante, impossible à remettre en question, prohibé de la défaite, la victoire ou la mort.

Le prince Casimir de Daguefilante, seras le général en chef de notre groupe, le baron Ludivc d'Ilessa seras le maestro de nos armes de sièges, le baron Charles de Glenpoint prendras le commandement de nos ressources et de notre approvisionnement, le duc Sébastien de Camlorn prendras les armes au côtés de nors archers, quant au comte Guillaume, mon bien aimé beau-père il prends le commandement de notre infanteries, j'aurais de mon côté à ma charge la cavalerie mais aussi la gestion de nos fortifications au-cas où nous devons être assiéger.

Ma petite vendetta pour venger le prince Léonard et ma défense de Chorrol, semble avoir donnés des idées.

Néanmoins l'équipe que nous sommes représente aussi en quelque sorte une forme de famille.

Le roi Bergamot avait deux soeurs, qui sont chacunes la grand-mère du duc Sébastien et de moi-même.

Et il lui arrive souvent de nous dire que nous leur ressemblons.

A noter qu'il est aussi à l'origine de notre petite équipe, nous demandant d'être le fer de lance de l'Alliance dans ses moments les plus dures mais aussi d'être les protecteurs de Daguefilante dans la situation où Lauthaire étant nullement fiable, il nous à donner l'ordre de mettre un cran d'arrêts à ce dernier, si l'époque l'exige.

Même si notre but reste de servir l'Alliance, cette demande me semble un peu dure, je sais que trop bien que Lauthaire, n'est qu'une brute écervellé, mais cela me semble être une sur-estimation de sa bêtise, le Haut-Roi à en profond respect pour Bergamot, mais je pense que mon roi deviens sénile, à voir dans ce petit fils là une menace.

Mais bon seul le temps donneras raisons ou non à ces inquiétudes, inquiétudes qui semble plus relatives à de la superstition ou bien à une trop grande paranoïa.

Cependant le fait que cette équipe soit formé et que j'en fasse partie, fait naître en moi, de l'exaltation et même de la jubilation, servir au côtés de légendes et de combattant d'une grande force, dont seul les plus dignes osent essayer de leur donner épreuves qu'ils ont surmontés.

L'idée d'être placé avec eux, est plus que de l'honneur, cela est vivifiant.

Ensemble nous marcherons avec une force de 50 000 hommes dans les contrées nordiques.

Ensemble nous obligerons le haut-roi Jorunn à capituler.

Ensemble nous vaincrons.

Lui: Je te sent, blême et circonspect,  mon enfant, parle moi de ce qui te tracasse.

Moi: Dois-je vraiment vous expliquez ce qui réside en moi, vous me lisez comme un livre ouvert uniquement au bonne page.

Lui: Même si cela est vrai, pourquoi, ne souhaite tu pas mettre des mots sur cela ?

Moi: Car je n'en vois, ni l'intérêt et encore moins une raison quelconque de vous en parler.

Lui: Tu es bien froid et distant avec moi, pour le peu que je sache, j'ai respecté ma part du marché, comme tu avais respecté la tienne.

Moi: Si je n'avais pas agit en votre faveur,  je doute que vous m'auriez fait ce don à l'époque.

Lui: Tu a traquer, un membre de ma bien-aimée meute,
qui avait osé me trahir en faveur d'un autre, cela méritait une juste compensation et mon anneau t'a permis d'atteindre ton plein potentiel à un jeune âge.

Moi: Et pourtant vous m'avez banni de vos terrains de chasses.

Lui: Nuance, tu ne peux aller voir ceux qui furent ta famille de leur vivant, mais tu peux toujours accéder, a ma chasse privée.

Moi: Vous reconnaîtrez, le manque d'arguments pour que je vienne à vous.

Lui: Je le conçois, mon garçon, et comme tu t'en doutes, je suis ici à partager ta nuit, car j'ai besoin de toi à nouveau.

Moi: Dois-je feinter la surprise ?

Lui: Il n'y a aucune raison a ta nonchalance,  mon enfant.

Moi: Dis-te moi juste qui il faut que je tue pour vous plaire,  cette fois-ci.

Lui: Je veux que tu renvoie, un autre de mes vassaux à mes côtés pour sa trahison envers moi.

Moi: Je commence a me demander comment vous faites pour perdre autant des nôtres ...

Lui: Nul besoin d'être si curieux, mais puis-je compter sur toi ?

Moi: Quel est le prix cette fois ?

Lui: Ma cuirasse de tiendras chaud pour chaque hiver que tu passeras à la guerre.