Poésie, poèmes et contes

Sonnet pour Helena

"Chère amie, notre rencontre à Abondance;

Me fait languir de vous, jour et nuit;

Votre sourire, fait prolonger par l'intense;

Mon désir ardent, qui a petit feu me consume.

Toutes mes victoires, sont vôtres;

Je serais vôtre champion, et nul besoin d'autre;

Et que les divins en soient témoins.

Kyne, par son vent, inlassable;

Vous sculpta, comme son chef d'œuvre;

Et lui parut même accomodable;

De vous faire plus gracieuse que Dibella.

Et c'est en connaissance de cause que;

Je vous dévoile, mes sentiments à vous;

Et que mon âme est à nu, pour vous."

La lumière

“Au jour de votre naissance;

De Jéhanna à Sentinelle;

Toutes les nations, par accoutumance;

Chantaient votre beauté intemporelle.

La lumière de Magnus, éclaire;

La voie menant à l’étoile;

Que vous êtes, honore et dévoile;

L’âme qui cherche à vous plaire.”

Les neiges du Haut Wrothgar

“Le Haut-Wrothgar enneigé m’attend;

Ivre du ciel, et des nuages;

Le froid, dans mon coeur s’étend;

Mon sang se glace sans votre passage.

Mais le monde s’enflamme;

L’espoir de voir revoir;

Fait brûler mon coeur et son abîme;

Emplissant mon désir de à nouveau vous apercevoir.”

Aubétoile

“La ville était nommé d’une étoile;

Mais du ciel, je ne vois que vous;

Illuminant ma nuit, et mon sommeille;

Vaermina me guette, mais je sais que vous veillez.

Mais soyez assuré, que je veille au vôtre;

De vos rêve, le prince Daedra;

N’y auras point de droit;

Et mon épée transperceras, le coeur du dieu.”

Les Systres

"Les Systres tiennent par quattre fois dans ma vie importance;

Dans ma plus tendre enfance;

Lorsque s'estomper mon innocence;

Et lorsque de la vie, j'encontris l'insolence.

Mère depuis le conclave du wyrd, m'apprenais;

Que la plus simple des fleurs, aux plus grands arbres;

Vivait en apnée, là où la terre s'étendait;

Alors qu'au large d'Alinor siégeait les druides aux Systres.

Mon parrain, siégeant depuis l’archipel;

Me faisait avec sa fille, mon éprise d’enfance;

Miroiter mont et merveilles au-delà de la chapelle;

Aujourd’hui, je ne fais qu'affirmer ma transe

Lorsque la guerre m'appelais au retour au clairon de l'automne;

Celle que j'allais un jour appeler ma femme;

Me fit combattre au tournoi, mais ne pus être son champion à l'hiver;

Mais celle qui est devenue duchesse des Systres, je fus son honneur.

Et lorsque, la hache du jarl d'Epervine, rappelait ma mortalité;

Qu'Hircine espérant s'enrichir de mon âme, fut déconvenue;

Et que la paix, après une décennie de guerre fit irruption;

Il ne manquait à mon voyage dans les foyers de l'humain, que les Systres."

Le petit chanteur argonien.

"Il était une fois un jour d'été dans le marais noir, les arbres et les fleurs couvrait le marais de mille et une couleur chatoyante, du rouge, du bleu, du violet, du jaune ou bien du blanc.

Et dans l'immensité du marécage se trouvait, une petite tribu, avec son Hist, grand et majestueux, autours de l'arbre valser oiseaux et insectes.

Et autour de l'Hist se trouvait la tribu des rouges-voix, qui disait-on chantait si bien, que du monde entier on venait les voir.

Et dans cette tribue de grand chanteur, se trouver, un petit argonien, tout blanc, et il était triste.

Personne ne voulait chanter avec lui, car tout le monde avait des écailles, de pleins de teintes de vert, comme s' ils étaient un arc-en-ciel de vert.

Alors, le petit argonien, tout triste, demanda à sa maman, s' il pouvait venir avec elle et les autres petits argoniens de la couvée, pour s'entraîner au milieu des arbres à bien chanter en cœur.

La maman, touchée par la demande, accepta et prit le petit argonien avec elle. Le groupe partant ainsi au milieu des arbres et des fleurs.

Mais pour aller à leur entraînement, il fallait passer une rivière, pour cela tout devait se tenir la main, afin de traverser le cours d'eau.

Or l'un des frères du petit argonien ne voulait pas tenir la main au dernier de la couvée, et lâcha alors la main, et notre petit argonien se fit emporter par le courant d'eau.

Le petit argonien criait de toute ses forces, mais sa maman ne s'était même pas retournées, pour voir ce qui se passait, et continuer d'avancer sans même s'inquieter pour ce que qui été arrivé au petit argonien blanc.

Et le petit argonien, emporté par le courant d'eau, entendit un bruit, un bruit assourdissant, comme si le tonnerre grondait avec fracas et violence.

Le courant plus, il approchait de l'origine du son, plus il devenait fort et tumultueux, alors l'effroi s'empara du petit argonien, qui se débattait contre les flots.

Le courant forcé le petit argonien, à regardé désormais vers l'origine du vacarme, mais ce qu'il voyait été qu'il n'y avait plus d'eau, il compris alors, c'était une cascade qui allait le mener à un gouffre, immense, aussi grand que les plus grandes montagnes.

Il continuait de se débattre, pendant des secondes qui lui semblaient des heures, mais tout d'un coup il ne sentait plus rien, il faisait une chute dans le vide.

Il ferma les yeux, pensant que c'était la fin, mais ...

Une douce vague vient lui titiller le museau, avec douceur, le faisant se réveiller, il se trouvait dans une grotte, en se fiant à ses oreilles il pouvait deviner d'où il venait.

Il regarda alors les alentours, et vis quelque chose de si merveilleux que cela fit illuminer ses yeux.

C'était des peintures rupestres qui menaient à un peu plus loin, dans la grotte, qui semblait éclairée par des cristaux de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel.

Ses cristaux de lumière illuminent le chemin à suivre pour le petit argonien, qui le suivant apprend que ces peintures rupestres était l'histoire de sa tribu.

Suivant le chemin de cristal, il arriva à une immense peinture, si grande qu'elle semblait s'étendre au plafond de la grotte qui semblait pour notre petit argonien si haut, que seul le ciel devrait être à cette hauteur.

Sur cette fresque se trouvait, un argonien, vêtu de plume de toutes les couleurs, mais ses écailles n'en menaient pas temps.

Des écailles d'un blanc si éclatant, que même le soleil, ne brillait pas autant, et selon la peinture, sa voix seule était le désir le du monde et en était un trésor.

Si heureux de voir cela, que le petit argonien se mit à chanter.

Son chant était si beau, que la terre, sous ses pieds s'élevait et lui fit une scène, qui s'élevait si haut, que le ciel étoilé pouvait entendre son chant

Un chant qui fit même tomber les étoiles dans les bras du sommeil, que les lunes se mirent à contempler, elles aussi.

La terre sachant le désarroi de l'enfant, le fit descendre au milieu de sa tribu, alors que se présentait ses frères et soeurs de couvées, qui comme les étrangers venus du monde admirérent le petit argonien et son chant si pur et si beau, que les bêtes sauvages écoutaient avec eux, le chant du petit argonien.

Et lorsque le petit argonien, ouvrit les yeux, estompant son chant, tout le monde le regarde, l'acclamant, lui donnant des fleurs, et des richesses

Certains lui promettent même des perles de pluie de pays, où il ne pleut pas.

Fin.”

Morale:

Il ne faut pas se laisser abattre quand les gens ne souhaitent pas vous laisser une chance, et provoquer alors soit même la chance, et que la reconnaissance arrive au moment où l’on ne l’attend pas.

Laetitia

"Ma chère amie, toi qui vit au côté d'Arkay;

Je te dédie, ces quelques verset;

Notre rencontre est à mon esprit seulement hier;

Mais cela fait déjà vingt-quatre années, que nos pères;

Ont cru bon de nous présenter l'un à l'autre;

A nos huit ans de vie, je t'ai offert un bouquet de Lierre.

Si cela avait été un jeux, nous aurions été chacun déçu;

Mais nos pères, ont vue l'étincelle que l'on partageait;

Et ont entrepris de nous faire marier, sans plus de jet;

Et c'est ainsi que pus gagner mon premier amour, et que cela fut sut.

Aujourd'hui, je vois ta tombe, au Systres;

La rébellion du comte de Chorrol;

A fait de moi un homme sinistre;

Et ton départ soudain n'a fait qu'ouvrir mon col.

Je peux me vanter, de bien des déceptions;

L'échec de mon mariage, repose sur mon arrogance;

Que j'ai par colère, tué les sentiments de ma transe;

Mais de toi, je n'ai que des exceptions;

Si les huits, le permettent, j'aimerais te retrouver;

Quand viendra le jour de mon dernier repos;

Pourrais-tu me guider;

Ou en demanderais-je trop ?"

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(Spécial pour un certain personnage de la guilde)

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